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Automatismes et prise de parole

Développer son impact quand on prend la parole c’est comme quand on apprend à conduire !
Souvenez-vous…

Les premières leçons sont compliquées : changer une vitesse est épuisant ! Il faut lâcher l’accélérateur, appuyer sur l’embrayage, bouger le levier, lâcher l’embrayage, appuyer sur l’accélérateur, en gardant le focus sur la route. Pffffff…

Et puis ça devient vite un automatisme. Combien de parcours fait-on sans même y penser ?

Quand on se forme en prise de parole, on acquiert des nouvelles techniques. Les premiers exercices, après la prise de conscience, demandent beaucoup de ressources pour les mettre en place. Untel va bosser dur pour remplacer ses « euh » par des silences. Unetelle va avoir besoin de se concentrer pour adopter l’ancrage au sol afin d’éviter de danser sur place. Et le 3ème aura du mal à adopter une respiration basse pour mieux « envoyer » sa voix.

Et puis ça devient des automatismes. Ça ne demande pas un an, ni un mois, ni une semaine ! Ça travaille déjà dès la première nuit entre les deux jours de formation. Et on entame souvent le 2ème jour un peu fatigué mais avec une facilité qu’on ne soupçonnait pas.

On a progressé et c’est gratifiant.

pascalhaumontAutomatismes et prise de parole
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